ZWANGERE GUY ET ARNO QUI FONT LEUR TRUC AVEC “NON, JE NE REGRETTE RIEN”. YUGO EST BIEN DE RETOUR.
Telenet & TBWA réunissent des rebelles de la musique pour la bonne cause
14 août 2020
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Réunissez deux rebelles de la musique comme Zwangere Guy et Arno et vous obtiendrez des résultats légendaires. « Fais ton truc », voilà ce que scandent Telenet & TBWA en demandant aux deux artistes de réinventer l’iconique « Non, je ne regrette rien » d’Édith Piaf. Et on peut dire qu’ils s’en sont donné à cœur joie. Le duo a également collaboré avec le réalisateur Koen Mortier de la maison de production CZAR pour un clip vidéo dans lequel chacun suit littéralement sa propre voie. Un songraiser a été organisé en l’honneur de cette collaboration afin d’aider trois associations caritatives qui tiennent à cœur aux artistes. Une bonne dose de je-m'en-foutisme combiné à un activisme moderne ? C'est exactement ça YUGO.
Atteindre un groupe cible inaccessible
YUGO se concentre sur les rebelles du numérique. Tous ceux qui l’utilisent de façon tout sauf classique. Un groupe cible que l'on n'atteint pas avec une campagne télévisée classique. "Il faut entrer dans leur culture en créant quelque chose qu'ils veulent vraiment voir", dit Maartje Berben, responsable des campagnes chez Telenet. "Nous ne voulons pas seulement nous concentrer sur les millenials, nous voulons nous concentrer sur tous ceux qui ont l'attitude de faire leur truc. Ce qui est fantastique avec Zwangere Guy & Arno, c’est que nous réunissions deux générations de rebelles musicaux".
Suivez toujours votre intuition
Arno et Zwangere Guy sont déjà montés sur scène ensemble en 2019 pour une performance extraordinaire. Lorsque Telenet & TBWA leur ont demandé de réinventer ensemble la chanson « Non, je ne regrette rien » d’Édith Piaf, les deux artistes n’ont pas hésité une seule seconde. Surtout lorsqu’ils ont compris qu’il s’agissait d’un songraiser organisé par Telenet pour aider des jeunes bruxellois.
Arno et Zwangere Guy représentent deux générations musicales au caractère rock’n’roll. Tous deux attribuent leur succès aux risques qu’ils ont osé prendre au cours de leur carrière en suivant leur instinct.
« Pour un jeune bruxellois comme moi, participer à cette adaptation de Piaf avec Arno est la preuve que nous sommes libres de faire notre truc. » – Zwangere Guy
Telenet a donné carte blanche aux deux artistes dans l’écriture des paroles de la chanson. Au niveau de la mélodie de ce monstre de la chanson française, chacun s’en est tenu à son propre style reconnaissable, dans un mélange de chant en français et de rap en néerlandais.
« Nous avons mélangé rap et rock au même titre que les coqs et les lions, et les mouettes ont chanté : Vive la Belgique » – Arno
Un clip kaléidoscopique et symbolique
Le clip de la chanson a été réalisé par Koen Mortier de la maison de production CZAR : « Le concept de base du clip était de ne pas douter, ne pas regarder en arrière et continuer d’avancer. Je voulais l’aborder de manière atypique pour ne pas en faire un clip standard. Je ne pouvais pas infliger ça à Arno et Zwangere Guy. » Il explique : « Le clip est constitué de deux histoires distinctes, symbolisant leurs directions distinctes dans la vie. Ils font partie de "mondes" différents, mais se retrouvent de plusieurs manières : en chantant les lignes de l’autre, en se regardant ou encore en se croisant parfois dans la vidéo de l’autre... C’était ma façon de dépeindre leurs rencontres dans la vraie vie ».
Selon K. Mortier, le clip regorge également de symbolisme : « Prenez les portes, par exemple : comme dans la vie, pour chaque porte qui se ferme, une autre s’ouvre. Si vous voulez vivre à votre manière, vous devez avancer sans vous remettre en question et, surtout, sans regret ». Il ajoute : « Croyez en vous et ouvrez des portes pour passer à l’étape suivante. Suivez votre instinct envers et contre tout : soyez vous-même, soyez créatif et faites ce que vous voulez. N’ayez aucun regret. Ce sentiment inutile vous poussera uniquement à baisser les bras. »
Le clip vidéo sera lancé avec une grande campagne outdoor et online. Elle sera également visible en intégralité dans les cinémas bruxellois. "La publicité est un média éphémère, mais si une idée de campagne peut mener à un petit morceau d'histoire de la musique pop, alors vous savez pourquoi vous faites ce boulot", concluent Thomas Driesen & David Maertens, les créatifs derrière la campagne TBWA.